Vendre, c’est éduquer!

Et vice versa!

Partant du principe qu’un client éduqué est un meilleur client, je m’intéresse aux initiatives visant à adapter la dynamique de communication de l’Internet à des fins pédagogiques.   C’est pourquoi, en plus de Florence Meichel dont je vous avais parlé dans mon billet sur Delicious, les Mario Asselin, Patrick Giroux,  François Guité, Karl Kapp et Steve Hargadon m’inspirent pour améliorer mes habiletés et pour bonifier ma réflexion dans ce domaine.

À propos de Florence, répertorier toutes ses traces laissées dans l’Internet relève d’un travail à plein temps.  Je vais simplement mentionner que, en plus d’alimenter plusieurs blogs, elle est la fondatrice et “l’âme” d’un réseau que j’apprivoise progressivement:  Apprendre2.0.

Le commerce étant essentiellement des communications menant à une transaction, la différence entre enseigner et vendre réside simplement dans la nature de la transaction et du mode paiement entre les personnes impliquées.

Pour que les dirigeants puissent savoir profiter au maximum du Web, il faut d’abord qu’ils améliorent leur savoir relatif à cet environnement d’affaires internationales.   Je prends donc le pari qu’en m’améliorant comme éducateur, je serai un meilleur vendeur du potentiel en développement des affaires profitables dans l’Internet (ou le Web).


Comments

3 réponses à “Vendre, c’est éduquer!”

  1. Myriam

    Belle analogie, mais je ne vois pas l’aspect transaction de mon futur métier. Enseigner c’est aussi éduquer.

  2. Luc Gendron

    L’élève ou l’étudiant est également un “client” qu’un éducateur doit “séduire” pour lui “vendre” sa matière. Si ce dernier est passionné, il n’aura pas de difficulté. S’il compte le nombre de “dodos” avant sa retraite, il ferait mieux de se recycler!

    Tout comme le processus de vente, l’éducation n’est pas une simple diffusion de connaissances, mais un partage d’informations suivi de dialogues qui peuvent permettre à l’éducateur de s’ajuster au besoin et, même, d’améliorer ses propres connaissances.

  3. […] parce que vendre, c’est éduquer que ce soit “online” ou […]