Vendre en ligne ou en boutique?

Pourquoi pas les deux?

C’est que j’explorerai le 25 octobre prochain lors de l’événement Focus20 eCommerceCamp avec deux commerçants ayant fait ou en processus de faire les chemins inverses et d’un leader ayant une relation privilégiée avec les commerçants de la région hôtesse.

  • Madame Fabienne Camillerie-Deghettol de Maman Autrement  a d’abord ouvert sa boutique en ligne pour ensuite ouvrir une boutique « physique ».
  • Monsieur Jean-François Tétreault de Fréquences le Disquaire , à partir de son succès sur le « terrain », planifie l’ouverture de son commerce en ligne.
  • Monsieur Guy Drouin, directeur général du Commissariat au Commerce de Drummondville a une perspective unique de l’état du commerce dans la région et s’intéresse à cette osmose entre les stratégies commerciales en ligne et sur le « terrain ».

Pourquoi exploiter ces deux environnements?

En quoi leurs expériences et leurs réflexions peuvent stimuler une ou un chef d’entreprise à améliorer le rendement de son commerce dans l’un ou/et l’autre de ces environnements?

Quelles sont les meilleures habitudes, processus et systèmes en commerce numérique pouvant améliorer les ventes, la satisfaction des clients et la rentabilité en boutique?

Pourquoi et comment un commerçant en boutique doit-il se préparer pour communiquer dans le canal et au rythme des clients « branchés » afin de profiter au maximum du potentiel de rayonnement et transactionnel du Web?

Comment les commerces de la région de Drummondville, de la boutique spécialisée à la grande chaîne,  pourraient convertir le trafic des autoroutes 20 et 55 en transactions sur leurs sites Web ou faciliter la cueillette de produits commandés en ligne?

Pas des silos, des leviers!

Il ne s’agit plus de compter uniquement sur l’achalandage d’une rue, d’un quartier commercial, d’un site Web ou d’une place de marché numérique.  Le processus de recherche et d’achat des consommateurs évoluent avec un accès au Web partout et en tout temps dans leurs mains.

C’est sans compter l’appétit des leaders en commerce numérique comme Amazon qui exploite avantageusement, au grand dam des commerçants ayant pignon sur rue, le lien étroit qu’il nourrisse numériquement avec leurs clients même lorsqu’ils sont dans une boutique « physique ».

Dans votre boutique physique, dans quelle mesure vos nouveaux clients vous trouvent et souhaiteraient payer en ligne pour récupérer le produit à votre boutique ou expérimenter votre service à votre bureau?  Comment nourrissez-vous la relation une fois la transaction complétée?

Dans votre commerce en ligne, dans quelle mesure vos clients préféreraient commander sur le Web et récupérer les produits plus rapidement à proximité d’où ils se trouvent?  Quels clients préfèrent l’expérience multi-sensorielle d’une conversation en face-à-face pour conclure la vente?

Dans les deux cas, qui achètent et qui paient?  Est-ce vraiment la même personne?

Des passionnés au service de leurs clients

Ce qui se dégage des conversations que j’ai eues avec eux pour préparer notre panel, c’est leur passion à épater leurs clients autant avec leurs produits qu’avec l’expérience transactionnelle.

Cette passion contagieuse vous simulera à examiner le GPS (Gens, Processus et Systèmes) de votre commerce avec un nouveau regard.

Et vous?  Quelles questions aimeriez-vous leur poser?